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Idlib
vendredi 14 septembre 2018
C’est une enclave rebelle en Syrie où les différents accords, le plus souvent de reddition des opposants au gouvernement de Damas, ont permis la déportation des derniers combattants accompagnés de leurs familles. Au total, ils sont quelques trois millions.
De fait, c’est devenu le dernier abcès de fixation « djihadiste » sur le territoire. L’objectif de Damas est de le réduire. La Russie soutient le gouvernement Syrien au motif « qu’il a le droit de (re)prendre le contrôle de la totalité de son territoire et doit le faire » dixit Valdimir Poutine.
C’est une enclave rebelle en Syrie où les différents accords, le plus souvent de reddition des opposants au gouvernement de Damas, ont permis la déportation des derniers combattants accompagnés de leurs familles. Au total, ils sont quelques trois millions.
De fait, c’est devenu le dernier abcès de fixation « djihadiste » sur le territoire. L’objectif de Damas est de le réduire. La Russie soutient le gouvernement Syrien au motif « qu’il a le droit de (re)prendre le contrôle de la totalité de son territoire et doit le faire » dixit Valdimir Poutine.
La Turquie, son alliée, craint en cas d’attaque d’Idlib par les forces syriennes loyales, l’afflux de réfugiés civils et autres.
Les Etats-Unis, malgré les tensions récentes entre les deux pays, menacent d’intervenir militairement si aucun accord n’intervient entre la Russie et la Turquie. Est-ce crédible vu le caractère erratique de la politique de Washington depuis et avant l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.
Derniers suspens en Syrie dont l’issue semble déjà écrite.
Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux.
Sun Tzu, L’Art de la Guerre, article 3